Découvrir La Dordogne
Les lieux emblématiques du Périgord
Domme, entre terre et ciel
Un bastion vertigineux ! Fondé sur une falaise au-dessus de la rivière, Domme fût érigé en bastide en 1281 par Philippe III le hardi. Les remparts qui l’enserrent, percés de trois portes, ne se formalisent pas du relief escarpé, ils s’en accommodent avec une aisance remarquable pour des fortifications d’une telle épaisseur. Prouesse encore ! À l’intérieur, ses maisons de pierres blondes offrent une agréable promenade jusqu’à son cœur, la place de la Halle, où se déroule chaque jeudi un marché traditionnel qui s’organise autour d’une halle du XVIIe siècle, magnifiquement rénovée.
Sarlat, la belle reveillée
Sarlat sait éblouir. La pierre blonde de ses bâtiments aussi. Ce joyau, blotti entre Vézère et Dordogne, est devenu à lui seul le symbole de l’art de vivre périgourdin. La profusion de son patrimoine, riche de demeures plus élégantes les unes que les autres, témoigne de la richesse de sa noblesse à partir du XVe siècle.
Sarlat, la belle reveillée
Sarlat sait éblouir. La pierre blonde de ses bâtiments aussi. Ce joyau, blotti entre Vézère et Dordogne, est devenu à lui seul le symbole de l’art de vivre périgourdin. La profusion de son patrimoine, riche de demeures plus élégantes les unes que les autres, témoigne de la richesse de sa noblesse à partir du XVe siècle.
Les jardins de Marqueyssac
Le site est exceptionnel : un éperon rocheux dominant la vallée de la Dordogne. C’est là que se déploient, autour d’un château dont les premières pierres remontent au XVIIe siècle, les jardins de Marqueyssac. Le parc offre une superficie de 22 hectares représentant 6 kilomètres d’allées, bordés et ornés de plus de 150 000 buis centenaires. Rocailles, cascades, théâtres de verdure et un impressionnant belvédère en à-pic à 130 mètres au-dessus de la rivière complètent la visite.
les village perchés de Beynac-et-Cazenac
En aval de Sarlat, édifié sur des falaises de calcaire, se dresse à 150 mètres en surplomb de la rivière, l’un des châteaux les plus spectaculaires de Dordogne, le château de Beynac-et-Cazenac. La légende raconte que Dieu distribuant les châteaux de par le monde vit le fond de son sac se crever au-dessus du Périgord ! Du haut de son éperon rocheux, ce vaisseau de pierre, véritable prouesse architecturale, surveille la vallée depuis le XIIe siècle. Il est entouré d’un des plus « plus beaux villages de France », bourg aux ruelles très pentues et grossièrement pavées, bordées de maisons anciennes aux pierres blondes.
Le village de La Roque-Gageac, ancien port sur la Dordogne, est un autre joyau de ce périmètre d’or. Comme posé délicatement le long de la rive, au pied d’une haute falaise, le village bénéficie d’un microclimat très agréable qui lui a valu le surnom de « Petit Nice du Périgord ». On peut y admirer une flore tout à fait exotique pour la région, faite de lauriers-roses, de palmiers et d’orangers…
les village perchés de Beynac-et-Cazenac
En aval de Sarlat, édifié sur des falaises de calcaire, se dresse à 150 mètres en surplomb de la rivière, l’un des châteaux les plus spectaculaires de Dordogne, le château de Beynac-et-Cazenac. La légende raconte que Dieu distribuant les châteaux de par le monde vit le fond de son sac se crever au-dessus du Périgord ! Du haut de son éperon rocheux, ce vaisseau de pierre, véritable prouesse architecturale, surveille la vallée depuis le XIIe siècle. Il est entouré d’un des plus « plus beaux villages de France », bourg aux ruelles très pentues et grossièrement pavées, bordées de maisons anciennes aux pierres blondes.
Le village de La Roque-Gageac, ancien port sur la Dordogne, est un autre joyau de ce périmètre d’or. Comme posé délicatement le long de la rive, au pied d’une haute falaise, le village bénéficie d’un microclimat très agréable qui lui a valu le surnom de « Petit Nice du Périgord ». On peut y admirer une flore tout à fait exotique pour la région, faite de lauriers-roses, de palmiers et d’orangers…
La Roque Saint Christophe, Font-de-Gaume
Lascaux n’est plus ouverte qu’à quelques spécialistes triés sur le volet, n’autorisant que de rarissimes passe-droits. Pour les autres, les visites sont interdites, il faut se tourner vers Lascaux 4 pour avoir un aperçu de la grotte.
Si Lascaux est emblématique, la vallée de la Vézère dans son ensemble, terre d’adoption de Neandertal et de Cro-Magnon, regorge de traces d’un lointain passé. Longer la Vézère depuis Les Eyzies, c’est découvrir le lien intime entre la vallée et la préhistoire. Profusion de gisements paléolithiques, d’abris sous roche, de grottes ornées… Sur la route entre Montignac et Les Eyziès, un site est emblématique : La Roque Saint Christophe, une falaise longue d’un kilomètre suspendue au-dessus de la Vézère et creusée d’abris. Occupées par l’homme préhistorique, ses cavités naturelles furent ensuite aménagées, taillées au Moyen-Âge, servant notamment de refuge aux huguenots, avant d’être démantelées au XVIe siècle. C’est aujourd’hui le plus vaste ensemble troglodytique d’Europe.
À un kilomètre des Eyzies, on peut découvrir l’une des grottes les plus importantes au monde, Font-de-Gaume, au creux d’une falaise dominant un vallon. Des bisons aux cornes rouges, des chevaux, des rennes, des mammouths, d’énigmatiques signes géométriques…. Les quelque 200 œuvres, peintures et gravures, de l’époque magdalénienne (15 000 ans avant J.-C.) ont été mises au jour en 1901. C’est aujourd’hui la seule grotte ornée polychrome ouverte au public au monde.